Berlin reste le lieu de référence pour les murs, y compris celui que heurte assidûment les marathoniens ! Et pas de « risque » qu’on le démonte un jour celui-là…

En 2007, les amicoursiens décidèrent donc de prendre la porte (celle de Brandebourg) histoire  de vérifier la « teutonique » des plaques (de rues !) qui composent le parcours du marathon. Ainsi, entre Bundestag et Reichstag, de « tag » en « tag », Gé, Georges, Hélène, Lydia et compagnie écrivirent sur la chaussée berlinoise une des plus belles pages de l’histoire des déplacements estampillés amicourse.

« Moi quand on m’en fait trop, les chronos j’correctionne plus, j’dynamite… j’disperse… et j’ventile… ! » C’est ce que dû se dire ce jour là (en pensant à Audiard…) le grand Hailé en train de « flinguer » un énième record du Monde !

Pendant  « qu’au 4 coins d’Berlin on retrouvait éparpillé par petits bouts façon puzzle… » nos camarades amicoursiens et plus tard, autour des verres de l’amitié où « vous avez beau dire, y’avait pas seulement que de la pomme, y’avait aut’chose. Ça serait pas dès fois de la betterave, hein ? »

Allez savoir…

Didier